10/06/2022
La voyage promotionnel (Nouvelle)
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09/06/2022
Mougeons, moutruches et muselières (169)
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08/06/2022
Gouvernants invisibles et sociétés secrètes (Serge Hutin)
Quand on évoque les sociétés secrètes, on pense immédiatement aux Francs-maçons, aux Rose-Croix, mais aussi au B'naï Brith, voire aux Illuminés de Bavière et on ne peut que se référer aux hommes célèbres qui les créèrent ou en firent partie comme Gurdjieff (qui a déclaré : « J’ai la possibilité d’accéder au saint des saints de presque toutes les organisations hermétiques, telles que sociétés religieuses, occultes, philosophiques, politiques ou mystiques qui demeurent inaccessibles à l’homme ordinaire… »), ou comme le fameux « mage » britannique Aleister Crowley ou encore de grands initiés comme Weishaupt, Cagliostro, Saint Germain, Goethe, Hugo et tant d’autres. Cependant, faire partie d’une de ces sociétés secrètes ne suffit pas pour devenir un des gouvernants invisibles, encore faut-il atteindre l’échelon le plus élevé de la hiérarchie (le 33ᵉ par exemple), autant dire le sommet de la pyramide, celui des véritables maîtres, tous totalement inconnus du grand public et tenant d’ailleurs à le rester coûte que coûte. Toute violation du secret étant punie de mort, il est facile de comprendre que bien peu de chose filtre à ce sujet.
Paru en 1971, « Gouvernants invisibles et sociétés secrètes » se présente comme une enquête toujours d’actualité dans la mesure où l’auteur étaie sa théorie sur de nombreux exemples historiques comme les coulisses de la Révolution française, qui ne fut pas aussi spontanée que l’histoire officielle veut bien le raconter, ou comme la vertigineuse ascension de Napoléon Bonaparte qui ne peut s’expliquer que par le soutien apporté par le pouvoir occulte (Fraternité hermétique de Louxor et Illuminatis). Il en fut de même des carrières de Richelieu et de Disraéli, de l’incroyable fortune de Jacques Cœur voire du pouvoir d’Hitler, Lénine et Staline, entre autres. Cet ouvrage, bien écrit et très agréable à lire, s’il n’apprend pas grand-chose à ceux qui sont déjà bien informés sur le sujet, peut très bien servir de base de départ pour les recherches des autres. L’ennui, c’est que quand Hutin aborde des périodes plus proches de nous, son étude semble moins fouillée, et nettement plus superficielle. (Synarchie, Cagoule, Ordre du Temple solaire, juste quelques lignes en fin d’ouvrage).
4/5
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07/06/2022
Poèmes pour petits et grands (186)
Le merle
Un oiseau siffle dans les branches
Et sautille gai, plein d’espoir,
Sur les herbes, de givre blanches,
En bottes jaunes, en frac noir.
C’est un merle, chanteur crédule,
Ignorant du calendrier,
Qui rêve soleil, et module
L’hymne d’avril en février.
Pourtant il vente, il pleut à verse ;
L’Arve jaunit le Rhône bleu,
Et le salon, tendu de perse,
Tient tous ses hôtes près du feu.
Les monts sur l’épaule ont l’hermine,
Comme des magistrats siégeant.
Leur blanc tribunal examine
Un cas d’hiver se prolongeant.
Lustrant son aile qu’il essuie,
L’oiseau persiste en sa chanson,
Malgré neige, brouillard et pluie,
Il croit à la jeune saison.
Il gronde l’aube paresseuse
De rester au lit si longtemps
Et, gourmandant la fleur frileuse,
Met en demeure le printemps.
(Théophile Gautier)
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06/06/2022
Mougeons, moutruches et muselières (168)
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05/06/2022
Pensées plus ou moins correctes (267)
« On se réjouissait à ta naissance et tu pleurais. Vis de manière que tu puisses te réjouir au moment de ta mort et voir pleurer les autres. »
(Proverbe persan)
« Le fait que la vie n’a aucun sens est une raison de vivre, la seule du reste. »
(Cioran)
« Qui sait si la vie n’est pas la mort et si ce n’est pas la mort que les hommes appellent la vie. »
(Euripide)
« La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie. »
(André Malraux)
« Ne prenez jamais la vie trop au sérieux : de toute façon, vous n’en sortirez pas vivant. »
(Elbert Hubbard)
« La vie sans religion est une vie sans principe et une vie sans principe est comme un bateau sans gouvernail. »
(Mahatma Gandhi)
« La vie c’est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit. »
(Céline)
« La vie est un pont. Traversez-le, mais n’y construisez pas votre maison. »
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04/06/2022
Journal d'un remplacé (Grégory Roose)
Selon l’auteur, nous ne serions pas confrontés à un « remplacement », mais en réalité à deux. Un « petit » remplacement qui correspondrait à un changement de classe, de références culturelles perpétré grâce à une inversion généralisée des valeurs traditionnelles et à un déni systématique de la réalité. Et un « grand » remplacement qui, lui, est une substitution ethnique, les allogènes submergeant peu à peu les indigènes par le biais d’une immigration incontrôlée et d’une natalité plus importante. Chaque jour ou presque, nous amène son lot d’actes de violence que les médias classent comme « faits divers » ou comme honte pour la société et grande cause nationale selon l’origine de ou des auteurs. Ainsi le jeune Théo Luhaka eut-il droit dans un premier temps à toute l’attention empathique des médias. Il fut présenté comme la malheureuse victime d’un viol perpétré par des policiers indignes. Quelque temps plus tard, après enquête, le parquet reconnaîtra qu’il n’y eut aucun viol. L’individu sera d’ailleurs mis en examen pour escroquerie en bande organisée, blanchiment, faux et usage de faux et travail dissimulé. Mais auparavant, François Hollande s’était immédiatement précipité à son chevet, ce qui ne fut pas le cas pour un autre jeune, Yurii, lynché en pleine rue par une bande de racailles venues de Vanves. Pas plus que pour le malheureux Adrien Perez, poignardé en plein cœur pour avoir voulu défendre une jeune femme agressée par des voyous. Pas plus que pour Laura et Maurane, assassinées à la gare Saint-Charles de Marseille ou pour le capitaine Arnaud Beltrame. Indignations à géométrie variable. Deux poids, deux mesures…
« Journal d’un remplacé » n’est pas vraiment un journal dans la mesure où l’auteur ne suit pas un ordre chronologique des évènements, mais les reclasse par thèmes : immigration, insécurité, propagande, écologie, crise sanitaire et autres. Au fil de ces « faits divers », il aborde toutes sortes de sujets comme les élections truquées aux Etats-Unis, la censure sur les réseaux sociaux, la déconstruction du sentiment national, les violences policières, les Black Lives Matter, le communautarisme, le covid, le féminisme 2.0, la cérémonie des Césars, les éoliennes, la COP 21, Greta Thunberg, etc. Tout est vu par le petit bout de la lorgnette. Les analyses sont souvent légères pour ne pas dire discutables. Pour Roose, la crise sanitaire a eu un bon côté, celui du retour de la nature au cœur des villes et d’une nette amélioration de la qualité de l’air. Pas un mot sur les mesures idiotes, inutiles, liberticides et vexatoires. Le chapitre sur l’écologisme est un peu plus travaillé. La jeune Thunberg et ses séides repartent rhabillés pour l’hiver. Celui sur l’insécurité rappelle « La France Orange mécanique » de Laurent Obertone en moins percutant et en moins fouillé. On aurait aimé que tout l’ouvrage se soit affranchi de son côté anecdotique et ait plus viré à l’essai socio-politique, voire au pamphlet, ce qui n’est pas le cas. L’ensemble reste léger et superficiel tout comme le style peu travaillé et même un brin approximatif parfois.
3/5
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03/06/2022
Mougeons, moutruches et muselières (167)
08:52 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
02/06/2022
Lollyblog (Nouvelles)
Ouvrage disponible version papier et e-book
https://www.amazon.fr/Lollyblog-Nouvelles-Bernard-Viallet...
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01/06/2022
Epidémies, vrais dangers et fausses alertes (Didier Raoult)
Quel rapport y a-t-il entre la réalité d’une épidémie et les comptes-rendus médiatiques alarmants qui en sont donnés ? Comment se fait-il qu’on ne s’inquiète pas de maladies réellement mortelles et qu’on mette l’accent sur d’autres finalement assez bénignes ? Pourquoi privilégie-t-on des projections mathématiques (souvent fausses et même de facteur cent dans le cas du coronavirus) au détriment de l’observation de la réalité du terrain ? Et surtout pourquoi faut-il qu’à chaque « nouvelle » épidémie doive correspondre un nouveau et dispendieux médicament et un nouveau « vaccin » en cours d’expérimentation alors que des traitements anciens, peu onéreux et efficaces, sont toujours à la disposition des médecins ?
Cet ouvrage assez court (98 pages) se présente comme un essai de vulgarisation médicale d’accès facile et agréable. Le professeur Raoult, spécialiste reconnu mondialement dans le domaine des épidémies mais traité de charlatan par de malhonnêtes et ignares bateleurs de plateaux télé, y dissèque les caractéristiques et la réalité de diverses épidémies comme l’affaire de l’Anthrax (on se souvient de la fiole brandie à l’ONU pour incriminer Saddam Hussein alors que le virus avait échappé à un laboratoire militaire américain !), celle de la grippe, aviaire, de la grippe porcine, de l’Ebola, très mortelle, mais peu contagieuse, le virus H1N1, celui du coronavirus, Zika, Chikungunya, sans oublier le typhus transmis par les poux et le choléra à Haïti qui fut causé par les excréments jetés à la rivière par des soldats de l’ONU népalais infectés et non par le réchauffement climatique comme le clamèrent les dits « bateleurs ». Sans aller jusqu’au fond des choses (l’écrasante culpabilité des labos de Big Pharma à peine évoquée et avec des pudeurs de violette), cet ouvrage a le mérite de démontrer que dans ce genre d’affaires, il faut toujours raison garder et ne jamais se laisser gagner par des peurs fabriquées. Avoir le calme des vieilles troupes.
4/5
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