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31/08/2021

Mougeons, moutruches et muselières (81)

Pas responsable.jpg

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30/08/2021

Les animaux malades de la taxe (Fable)

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29/08/2021

Atlas du mondialisme (Pierre Hillard)

Atlas du mondialisme.jpgSaviez-vous qu’à la Révolution, avant de découper la France en départements, le premier projet fut un quadrillage parfaitement géométrique du territoire ? Même après quelques aménagements pour s’adapter quelque peu à la réalité du terrain, le maillage obtenu donna un charcutage complètement artificiel, ce qui n’était pas le cas des anciennes provinces qui avaient une histoire et de profondes attaches avec le pays réel. On dit aussi que pour complaire aux directives européennes, un certain François Hollande redessina les « régions », sorte de nouveaux « länders » sur une simple nappe de restaurant ! Saviez-vous aussi que l’affaire du Bagdad-Bahn, projet ferroviaire allemand devant relier Hambourg à Bagdad et même au Koweit, fut le parfait exemple de la lutte à mort que les thalassocraties anglo-saxonnes livrèrent aux empires centraux pour atteindre une suprématie absolue sur le pétrole du Moyen-Orient. Saviez-vous pourquoi « Les 300 propositions pour la France » de la commission Attali étaient en réalité 316 ? Lu à la manière hébraïque, de droite à gauche, ce chiffre donne 613, soit le nombre exact des prescriptions de la Torah. Humour d’une éminence grise qui aime à raconter des histoires de vente de pantalons à une seule jambe…

« Atlas du Mondialisme » est un essai de géostratégie et de politique particulièrement fouillé et détaillé. On y trouve de très nombreuses cartes, notes et autres documents rares. Pierre Hillard s’est particulièrement attaché à explorer l’aspect historique de la question. Car toute cette affaire ne date pas de la crise sanitaire ni des élucubrations d’un certain Klaus Schwab. Elle remonte à très loin dans le temps, aux hérésies, à Luther, aux sociétés secrètes, à la Révolution de 1789. Le nazisme et le bolchevisme furent des étapes évidentes du processus. Bien qu’édité en 2016 et donc un peu daté en raison des nouveaux développements, cet ouvrage demeure une référence ne serait-ce que par les recherches menées et les découvertes qui sont toujours d’actualité. Ainsi, le lecteur découvrira-t-il qu’il n’y a pas qu’un seul et unique mondialisme, celui orchestré par les Etats-Unis et la Cité de Londres, mais au moins deux. Le second, mené par la Russie de Poutine avec la Chine comme arbitre, se veut plus comme un bloc de puissances souveraines refusant de se dissoudre dans l’empire américain. Hillard en conclut que « le mondialisme est un messianisme. C’est l’enfer contre lui-même. » Peut-on y trouver une lueur d’espoir ?

4,5/5

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28/08/2021

Mougeons, moutruches et muselières (80)

Nous attendrons 70 ans.jpg

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27/08/2021

Poèmes pour petits et grands (158)

Rilke.jpgÔ nostalgie des lieux

 

Ô nostalgie des lieux qui n’étaient point

Assez aimés à l’heure passagère,

Que je voudrais leur rendre de loin

Le geste oublié, l’action supplémentaire !

 

Revenir sur mes pas, refaire doucement

— et cette fois, seul — tel voyage,

Rester à la fontaine davantage,

Toucher cet arbre, caresser ce banc…

 

Monter à la chapelle solitaire

Que tout le monde dit sans intérêt ;

Pousser la grille de ce cimetière,

Se taire avec lui qui tant se tait.

 

Car n’est-ce pas le temps où il importe

De prendre un contact subtil et pieux ?

Tel était fort, c’est que la terre est forte ;

Et telle se plaint : c’est qu’on la connaît peu.

 

(Rainer Maria Rilke)

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26/08/2021

La maladie cherche à me guérir (Philippe Dransart)

La maladie cherche à me guérir.jpgNous commençons peu à peu à admettre que certaines de nos maladies peuvent être classées comme psycho-somatiques et que notre psychisme peut parfois influer fortement sur notre santé. Le docteur Philippe Dransart va nettement plus loin dans sa démarche. Pour lui, tous nos maux relèvent de ce cas de figure. Notre esprit et notre corps ne font qu’un. Ils sont même en perpétuel dialogue. L’un entrainant l’autre et réciproquement. En appui à sa thèse, il évoque cette patiente qui n'arrivait pas à se débarrasser d’un orgelet à cause d’une la mère trop envahissante qui lui « sortait par les yeux ». Ou cette autre femme qui souffrait de problèmes cardiaques depuis que son compagnon l’avait abandonnée sans un mot et lui avait « fendu le cœur ». Ou encore ce chef d’entreprise, trahi par son associé et épuisé par ses responsabilités, qui déclarait en avoir « plein le dos » et qui souffrait depuis cette affaire de… lombalgie. Et tant d’autres…

« La maladie cherche à nous guérir » est un essai de vulgarisation médicale fort intéressant surtout par les anecdotes et les cas cliniques évoqués. Tous laissent rêveur le lecteur qui apprendra beaucoup de choses sur la santé et les rapports entre l’âme (le soma, la psyché) et le corps. Souvent celui-ci exprime des choses que le patient refoule ou ignore. Ce phénomène de somatisation est troublant. Quelquefois, il suffit de résoudre le problème psychologique pour que la maladie ou le désordre fonctionnel disparaisse comme par enchantement. Mais le plus souvent, comme le reconnaît très honnêtement Philippe Dransart, il faut recourir à la médecine pour remédier tout à fait classiquement à cette souffrance d’origine psychologique, mais bien réelle. Ouvrage intéressant ne serait-ce que pour nous rappeler la complexité de l’humain et la noblesse de la vocation médicale.

4/5

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25/08/2021

Pensées plus ou moins correctes (239)

TELEVISION

« La télévision n’est pas faite pour être regardée mais pour qu’on s’y montre. »

(Noël Coward)

« La télévision est un média grâce auquel des gens qui n’ont rien à faire regardent des gens qui ne savent rien faire. »

(Fred Allen)

« Je déteste la télévision. Je la déteste autant que les cacahuètes. Mais je ne peux pas m’arrêter de manger des cacahuètes. »

(Orson Welles)

« Les stars de la télévision se classent en deux catégories : celles qui sont au placard et celles qui sont sur le point d’y aller. »

(Dr. Leslie Bell)

« Grâce à la télévision, je m’instruis considérablement. A chaque fois que quelqu’un l’allume, je vais dans la pièce voisine pour lire un livre. »

(Groucho Marx)

« La télévision est le sida de notre société. Comme la maladie, elle tue nos cellules vivantes et diffuse son microbe d’une manière tellement insidieuse qu’il est impossible de l’endiguer. La télé tue la vitalité d’une société, sa créativité, son imagination, ses élans. Elle orchestre la décadence de notre société. »

(Anne Bragance)

« La télé est dangereuse pour les hommes. L’alcoolisme, le bavardage et la politique en font déjà des abrutis. Etait-il nécessaire d’y ajouter quelque chose ? »

(Louis-Ferdinand Céline)

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24/08/2021

Mougeons, moutruches et muselières (79)

Dostoievski.jpg

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23/08/2021

L'été de nos vingt ans (Christian Signol)

L'été-de-nos-20-ans_5162.jpgEté 1939. Antoine, 19 ans et son ami d’enfance Charles rencontrent Séverine lors d’une promenade à vélo en Dordogne, du côté de Montignac. Entre les trois jeunes gens s'instaure une belle amitié qui va bientôt se transformer en une histoire d’amour pour Charles et Séverine. Leur bac en poche, les deux garçons partent étudier le droit à Bordeaux pendant que Séverine obtient son premier poste d’institutrice dans un petit village proche de Périgueux. Les hostilités arrivant, Charles et Antoine devancent l’appel et se retrouvent artilleurs dans l’Aube. Mais, alors qu’ils n’ont même pas commencé à combattre, leur chef décide de se rendre à l’ennemi. Refusant de se retrouver prisonniers, les deux jeunes gens s’enfuient, traversent la France à pied, arrivent en Espagne puis au Portugal. Grâce à diverses complicités, ils se retrouvent en Grande-Bretagne. Après une longue période de probation, ils sont recrutés par le SOE (Special Operations Executive) nouvellement créé par Churchill pour mener des opérations de guérilla et de sabotages en territoire occupé. Les deux amis sont enchantés de pouvoir reprendre le combat et de peut-être retrouver Séverine…

« L’été de nos vingt ans » est un roman de terroir avec un important volet historique et sentimental. L’auteur précise bien en fin de volume que tous les éléments historiques lui viennent de son propre père, « résistant des groupes Vény sur les causses du Lot, réseau Buckmaster ». Le lecteur a donc droit à une forme d’historicité très romancée. Et là n’est peut-être pas le meilleur de cet ouvrage. On aimerait en savoir plus sur ce service secret peu connu, mais on reste sur sa faim. Les deux héros n’arrêtent pas de franchir le Channel dans les deux sens sans la moindre difficulté jusqu’au jour où… Mais stop ne déflorons pas. La fin dramatique rachète un peu la faiblesse de cette histoire à la « Jules et Jim ». Beaucoup de bons sentiments, de fidélité (l’amour au-delà de la mort), de courage, d’abnégation. On l'aura compris le sentimental l’emporte largement, même sur le côté terroir qui ne sert que de décor. Ce genre d’histoire peut plaire à un certain public. Les autres auront aussi vite lu qu’oublié ce titre.

3/5

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22/08/2021

Les Faux As (Roman)

08:41 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)