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20/04/2021

Florence (Nouvelle)

Ouvrage disponible version papier et e-book

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19/04/2021

Traque en deux temps (Michel Cherchi)

Traque en deux temps.jpgEn août 2018, au Nicaragua, Rob Sterling et Alex Garcia, tous deux agents de la CIA, tombent dans une embuscade. Leur guide Ramiro est abattu. Rob et Alex se réfugient dans une grotte où ils comptent défendre chèrement leur peau dans l’attente des secours. Mais un tir de roquette fait s’effondrer leur refuge sur eux. Une équipe, intervenue en hélico pour les sauver, arrive juste à temps pour les transférer en bien piteux état à l’hôpital militaire de Managua. Deux mois plus tard, Sterling se retrouve au quartier général de la CIA à Langley dans le bureau de Shaeffer, le directeur, qui lui annonce qu'Aljarith, le tueur à gages terroriste qu’il pourchasse depuis des années, vient enfin d’être abattu au Mozambique. Rob Sterling n’en croit rien. Un peu plus tard, son ami Yorell Lincoln, reporter du journal « The Independent », l’informe que différents phénomènes paranormaux se dérouleraient autour du siège de la NASA. Ils décident de se rendre sur les lieux. Ils y rencontrent le professeur Evrett, prix Nobel de physique, qui leur explique que ce dont ils ont été témoins est une sorte de fracture dans le continuum espace-temps, ce qui expliquerait la facilité avec laquelle Aljarith parvient toujours à s’échapper une fois ses crimes accomplis…

« Traque en deux temps » se présente comme un roman d’espionnage avec un important volet fantastique. Toute l’intrigue, assez simple au demeurant, repose sur le va-et-vient entre deux mondes, celui de maintenant et celui à venir, 91 ans plus tard. Pas mal apparenté aux agents secrets bien connus comme James Bond ou OSS 117, le héros est un superman chevaleresque, mais sans grande épaisseur romanesque ni véritable humanité. Quelques petites manies, quelques lubies ou quelques hobbies originaux les lui auraient procuré. Le style est simple, efficace et agréable à lire. La preuve, le livre se lit en une journée, tellement le lecteur n’a pas envie de le quitter même s'il a parfois l’impression de lire une BD ou d’être pris dans un jeu vidéo plein de péripéties et de rebondissements. Ouvrage de détente et de divertissement agréable et détendant, bien qu’entaché que quelques coquilles, anglicismes (ou américanismes) et autres erreurs grammaticales ou lexicales qui auraient dû être corrigées.

4/5

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18/04/2021

Mougeons, moutruches et muselières (46)

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17/04/2021

Poèmes pour petits et grands (145)

Jeux

 

Un grain de maïs

Sur un mur juché

Surprend une poule

Et l’a dévoré

Vous n’en croyez rien et pourtant c’est vrai

Puisque je l’ai vu quand il l’a avalée.

 

Un escargot noir

Filant dans les prés

Heurta un canard

Et l’a écrabouillé

Vous n’en croyez rien et pourtant c’est vrai

Puisque je l’ai vu quand il a trépassé.

 

Une pipistrelle

Eprise d’un chat

Se coupa les ailes

Et les lui donna

Vous n’en croyez rien et pourtant c’est vrai

Puisque je l’ai vu quand il s’envola.

 

Un agneau si doux

Rôdant dans les bois

Fit si peur aux loups

Qu’un loup en creva

Vous n’en croyez rien et pourtant c’est vrai

Puisque je l’ai vu quand on l’enterra.

 

(Paul-Marie Fontaine)

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16/04/2021

La maison de Pilate (Paul Féval)

La maison de pilate.jpgDon Ramire doit enlever Isabel, c’est quasiment un ordre de cette dernière qui se méfie de son époux récemment libéré de haute lutte des geôles royales. En effet, Medina Celi voudrait voir Isabel épouser Don Juan Palomas, ce que son épouse de haute noblesse considère comme une mésalliance. Le roi fait proclamer l’interdiction de séjour dans la ville de Séville à tous les mendiants, miséreux et autres parias qui l’encombrent, ce qui provoque une violente révolte attisée par le sombre Pedro Gil, mais rapidement maîtrisée grâce à une intervention double de Medina Celi. Mais l’enlèvement d’Isabel par Ramire est vouée à l’échec. Les deux amoureux tombent dans un guet-apens organisé par Moncade et le comte-duc. Attaqué par une vingtaine de spadassins, Ramire a beau se battre comme un lion, il ne parvient ni à s’échapper ni à sauver sa belle. Il succombe sous le nombre et tombe sous la coupe du sinistre Moghrab. La partie est-elle perdue ?

« La maison de Pilate » est la suite du « Roi des gueux ». L’ensemble représente un roman-fleuve de cape et d’épée d’environ 1300 pages. Autant le premier tome démarrait sur les chapeaux de roues, autant le second ralentit et donne parfois un peu l’impression de tirer à la ligne. Longues descriptions, longues interrogations, reprises des épisodes précédents et tirades un brin indigestes. On trouve encore quelques belles batailles et quelques actes de bravoure chevaleresque. Cependant l’accent est un peu trop mis sur le côté sentimental. Les amours contrariées de Ramire et Moncade, les changements de partenaires et les romances déçues. De plus, le comte a un sosie qui n’est autre que le roi des gueux. Soliman, Moghrab et Hussein le noir ne sont en fait qu’une seule et même personne, ce qui embrouille un brin le lecteur qui peut aisément se perdre dans les personnages. Féval use et abuse un peu de ce procédé rocambolesque assez peu vraisemblable. Conclusion : pas le meilleur titre du grand Paul Féval.

3/5

08:34 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

15/04/2021

Pensées plus ou moins correctes (226)

Etienne.jpgSOURCE

« Il y a bien des millénaires, les dieux se rendirent compte que les hommes qu’ils avaient nantis commençaient à se comporter eux-mêmes comme des « dieux sur Terre » et à traiter avec arrogance les autres êtres de la création. Ils décidèrent alors de cacher la source providentielle du bonheur infini, afin que seuls les hommes d’expérience, en quête de vérité, puissent y accéder. Quelle cachette choisir ? Certains dieux suggérèrent de la placer au fond des océans. D’autres proposèrent de l’enfouir plutôt au centre de la Terre. D’autres encore sur la lune… Mais chaque fois, les dieux devaient admettre que l’homme était si malin qu’il finirait forcément, un jour ou l’autre, par la retrouver, sans avoir pour autant atteint la sagesse nécessaire. Que faire ? Après mûres réflexions, le dieu du silence eut une idée qui, enfin, fit l’unanimité du panthéon : la meilleure cachette possible était à l’intérieur même de l’homme, là où son intelligence affairée ne le conduirait jamais. »

(Jean-Louis Etienne – « Le pôle intérieur »)

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14/04/2021

Mougeons, moutruches et muselières (46)

Deux doses.jpg

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13/04/2021

Convertir l'empereur ? (Eric Morier-Genoud)

Convertir-lempereur-Journal-du-missionnaire-et-m_7980.jpgDe 1892 à 1895, dans le sud-est africain, Georges-Louis Liengme, missionnaire et médecin originaire de Suisse Romande, se présente à la cour de l’empereur Goungounyane qui n’est plus pour très longtemps à la tête de l’immense territoire de Gaza, déjà partiellement sous dépendance portugaise et futur Mozambique. Même s’il est bien accueilli par le potentat africain, Georges découvre assez vite que sa mission ne va pas se révéler de tout repos. Goungounyane est en fait un despote qui pratique la razzia, la polygamie et la mise en esclavage systématique. De plus, son goût prononcé pour les alcools forts que lui procurent les Portugais l’amène à être plus souvent ivre qu’à jeun. Quant à ses sujets, ils veulent bien se faire soigner, mais sans jamais montrer le moindre signe de gratitude. Le pauvre pasteur ne mange pas tous les jour à sa faim. Il doit tout bâtir de ses mains avec l’aide des quelques convertis qui l’accompagnent. Son épouse et sa petite fille le rejoignent et bientôt un nouveau bébé vient réjouir la petite famille. Mais des nuages noirs s’amoncèlent sur la mission. Un conflit se profile. Le travail d’évangélisation ne rencontre guère de réussite. Ses ouailles, qui veulent bien chanter et écouter l’harmonium, restent fondamentalement animistes et insensibles au message du Christ. Ils n’acceptent de Georges, outre les soins, que de l’argent, de l’alcool, des cotonnades ou des cadeaux…

« Convertir l’empereur » est son journal humble et touchant, enrichi de quelques lettres à son épouse et à sa famille, l’ensemble compilé par un chercheur de l’université de Belfast. Ce document brut de décoffrage (quelques parties illisibles du manuscrit n’ont pas été transcrites) nous permet de découvrir l'œuvre d’un pionnier qui mériterait d’être aussi connu que le célèbre docteur Schweitzer tant son dévouement et son désir de faire partager sa foi ardente furent grands et admirables. Il multiplia les soins (il recevait une centaine de malades par jour) et les opérations chirurgicales, même les plus délicates, comme des interventions sur les yeux (cataractes, glaucomes, tumeurs, etc.). Il bâtit un dispensaire, une école et des maisons pour ses malades. Quand il se trouva au cœur du conflit, il refusa d’abandonner son poste, prit des risques importants pour lui et pour sa petite famille et tenta d’apaiser les tensions entre les belligérants, sans grand succès d’ailleurs. Les éditions Antipodes ont fait œuvre utile en publiant ce « Journal » à une époque où il est de bon ton de rejeter toute forme de colonialisme et de condamner sans appel toute tentative civilisationnelle d’un peuple sur un autre et même tout esprit philanthropique y afférant. Lire ce texte permet d’abord de découvrir un personnage hors-norme, d’un courage et d’une probité exemplaire et, en prime, de peut-être réviser certaines idées un brin stéréotypées sur la colonisation et la réalité des traditions ancestrales africaines. Une édition de qualité, illustrée de photos d’époque, mais avec un texte en caractères un peu trop petits pour un véritable confort de lecture. Passionnant néanmoins pour qui s’intéresse à l’Histoire de l’Afrique.

4/5

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12/04/2021

Expresso Love (Roman)

08:26 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

11/04/2021

Mougeons, moutruches et muselières (45)

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