21/10/2022
Mougeons, moutruches et muselières (207)
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20/10/2022
Monsieur Louis (Nouvelle)
Nouvelle extraite du receuil "Dorian Evergreen"
Ouvrage disponible version papier
http://www.thebookedition.com/fr/dorian-evergreen-p-16900...
version ebook
https://www.amazon.fr/DORIAN-EVERGREEN-Bernard-VIALLET-eb...
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19/10/2022
La nuit des temps (René Barjavel)
Dans la base française du pôle sud, plusieurs savants procèdent à des sondages en profondeur. Ils font des constatations assez étranges entre 900 et 1000 mètres sous la glace. Ils enregistrent même un signal sonore qui fonctionnerait depuis la bagatelle de 900 000 ans. Ils rentrent à Paris pour faire connaître leur découverte. Bientôt tous les journaux du pays titrent : « La plus grande découverte de tous les temps ! », « Une civilisation congelée » ou « L'UNESCO va faire fondre le pôle sud. » Peu après, une énorme mission internationale se met à creuser un puits dans la glace à l'endroit concerné. À plus de 900 mètres de profondeurs, les mineurs découvrent un premier oiseau pris dans la glace et tout au fond du puits, toutes sortes de ruines et divers animaux pétrifiés. Mais dès qu’arrive un peu de chaleur, tout se met à fondre et à disparaître. Mais comme le signal continue à émettre, ils continuent à creuser toujours plus profond. Ils finissent par atteindre une roche extrêmement compacte, puis une masse de sable et enfin une grosse plaque en or massif. Ils finissent par dégager une sphère de 27 mètres de diamètre soit la hauteur d'un immeuble de dix étages à l’intérieur de laquelle ils feront une découverte stupéfiante…
« La nuit des temps » est un des meilleurs romans de science-fiction de René Barjavel. En se référant aux histoires légendaires de l’Atlantide, du continent de Mu et autres, il nous entraine à la découverte de Gondawa, une brillante civilisation qui aurait fini par disparaître dans les profondeurs de la terre sans laisser de traces suite à un conflit titanesque avec leurs ennemis. Bien évidemment, cette intrigue fort bien menée, relève de la parabole ou du conte philosophique. L’auteur veut nous faire partager son horreur de la guerre et les risques de fin de notre propre civilisation en cas de conflit nucléaire généralisé. Ce ne serait pas la première fois que l’humanité aurait accumulé tant d’armes qu’elle aurait été en mesure d’éradiquer toute vie sur terre. Mais nos prédécesseurs en folie destructrice auraient placé dans un œuf d’or deux « germes » cryogénisés capables de faire refleurir la vie une fois la tourmente apaisée. Mais ils n’avaient pas anticipé le basculement de l’axe terrestre et la congélation du pôle sud. Publié en 1968, cet ouvrage majeur de la SF, est malheureusement encore d’actualité aujourd’hui. Le lecteur ne peut qu’approuver tout ce que Barjavel avance sur la nécessité du pacifisme, avec un petit bémol quand même sur l’espoir que le salut ne puisse venir que de la jeunesse…
4,5/5
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18/10/2022
Mougeons, moutruches et muselières (206)
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17/10/2022
Poèmes pour petits et grands (200)
Béatitudes du marcheur
Bienheureux ceux qui marchent avec confiance,
Ils trouveront le chemin de la sagesse.
Bienheureux ceux qui cheminent avec bonheur,
Ils trouveront la joie intérieure.
Heureux qui va de l’avant et laisse son cœur battre au rythme des solidarités.
Heureux qui sait admirer un sourire et oublier une grimace, sa route sera ensoleillée.
Heureux celui qui dans sa vie sait voyager,
Il est capable de parcourir la terre entière.
Heureux celui qui trouve des compagnons de voyage,
La route lui semblera moins longue.
Heureux celui qui sait regarder autour de lui,
La route lui réserve de bien belles surprises.
Heureux l’homme qui marche,
Il découvre les beautés de la nature.
Heureux celui qui va à la rencontre de l'autre,
Il trouvera Dieu.
Heureux celui qui fait le premier pas,
Il est déjà en chemin.
(Anonyme)
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16/10/2022
Les imposteurs du bio (Christophe Brusset)
Les produits bio ou supposés tel, souvent vendus avec des marges abusives, sont-ils tous vraiment bons pour la santé des consommateurs ou pour notre planète ? C’est d’autant moins certain que nous en importons un bon tiers de pays lointains (Chine, Turquie, Egypte, Afrique noire, Asie et Amérique du Sud) n’appliquant pas nos normes de culture et où le laxisme écologique et la corruption endémique règnent en maîtres. De plus, le bio n’est pas forcément synonyme de naturel. Par exemple, le sulfate de cuivre, largement utilisé en bio, est en réalité une substance pseudo-naturelle, un pesticide toxique et polluant, tout comme l’huile de neem, dangereuse pour les abeilles, les mouches, certains insectes et poissons. Autrefois relégués dans les rayons de compléments alimentaires, les produits bios disposent maintenant de vastes linéaires dans tous les super et hypermarchés, car les industriels de l’agro-alimentaire ayant flairé le bon filon se sont lancé à fond dans une filière qui est en constante progression et leur permet de s’octroyer des marges doubles de celles qu’ils pratiquent sur les produits non bio.
« Les imposteurs du bio » est un essai assez documenté se proposant de dénoncer la plupart des dérives d’une filière que d’aucuns imaginent vertueuse et bienfaisante. On y apprend pas mal de chose sur le sujet, par exemple que les organismes de certification sont des organismes privés pour la plupart, que les vérifications sont plutôt insuffisantes et parfois même pratiquées hors saison quand il n’y a rien à contrôler dans les champs ! Que les logos apposés sur les emballages sont forts nombreux, souvent fantaisistes et même auto-décernés pour mieux berner le consommateur. L’auteur en a relevé jusqu’à 12 sur un seul paquet de café ! On en est malheureusement ainsi arrivé à du bio de deux sortes, de qualité médiocre à quasi-nulle dans la grande distribution et acceptable dans les boutiques spécialisées plus ou moins militantes comme Biocoop ou la Vie Claire. Du bio pour prolo et du bio pour bobo en quelque sorte. Livre aussi coruscant que « Vous êtes fous pour avaler ça ! », mais qui reste un peu trop dans les généralités. Le lecteur aurait aimé plus de faits concrets pour illustrer et étayer le propos. À lire pour perdre quelques illusions…
3,5/5
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15/10/2022
Pensées plus ou moins correctes (280)
ZERO
Celui qui en partant de zéro n’est arrivé à rien n’a de merci à dire à personne !
(Pierre Dac)
ZOMPOLITICS
« La moitié des hommes politiques sont bons à rien. Les autres sont prêts à tout. »
(Coluche)
« Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent et pour les mêmes raisons. »
(George Bernard Shaw)
« Les hommes politiques feraient bien d’écouter nos voix avant de les compter. »
(Claude Frisoni)
« Un homme politique doit toujours connaître avec exactitude la frontière que son intelligence impose à sa moralité. »
(Edouard Herriot)
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14/10/2022
Mougeons, moutruches et muselières (205)
08:59 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
13/10/2022
La terre des promesses (Merice Briffa)
Août 1844, dans les Cornouailles, pays minier de bord de mer, Meggan Collins, 12 ans, fille de mineur, aperçoit sur la lande un lièvre blanc, vision qu’elle interprète aussitôt comme un mauvais présage. En suivant l’étrange animal, elle découvre sa sœur aînée Caroline, nue en pleine action avec Rodney Tremayne, le fils du riche propriétaire des mines. L’ennui, c’est que sa sœur devait épouser Tom Roberts, un autre mineur, et que le père de Rodney ne voulait pas entendre parler de semblable mésalliance… De son côté, Meggan qui dispose d’une voix magnifique, devait être dispensée du travail à la mine en devenant demoiselle de compagnie de Jenny Tremayne, sœur de Rodney. Mais la malédiction du lapin blanc opère très vite. Les amours de Caroline et Trevor s’achèvent par le suicide de celle-ci quand elle apprend un terrible secret de famille et par la disparition volontaire de Rodney qui ne veut plus jamais revoir son père. Après ce double drame, la famille Collins décide de partir tenter sa chance à l’autre extrémité de la terre, en Australie, à nouveau dans une mine de cuivre, à Burra dans la partie méridionale du pays. Cette terre de toutes les promesses leur apportera-t-elle un avenir meilleur ?
« La terre des promesses » est un roman sentimental comme on en écrivait au XIXᵉ siècle avec son lot d’amours contrariés, d’enfants bâtards, d’unions improbables, de préjugés de classe, de bergères n’épousant pas de jolis princes, de femmes trompant leurs maris, de charmants prétendants couchant avec la sœur de la promise, pimenté par un viol pour faire bonne mesure. On reste dans le registre du roman de gare, niveau « Guy des Cars » moins quelque chose. Le lecteur aurait pu s’attendre à en apprendre un peu sur la vie des mineurs en Cornouailles ou en Australie, sur la colonisation de ces nouveaux territoires, la création de villes nouvelles dans le bush, la ruée vers l’or australien ou la dépossession des autochtones. Il restera sur sa faim. Il y a un public pour ce genre de littérature. Désolé de ne pas en faire partie…
3/5
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12/10/2022
Lollyblog (Nouvelles)
Ouvrage disponible version papier et e-book
https://www.amazon.fr/Lollyblog-Nouvelles-Bernard-Viallet...
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