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13/06/2022

Mougeons, moutruches et muselières (170)

Sexe et amour.jpg

08:27 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

12/06/2022

Montburgonde (Roman)

08:40 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

11/06/2022

SIDA, Opium, Diamants et Empire (Nancy Turner Banks)

Sida, Opium, Diamants et Empire.jpgLe SIDA, cette étrange pandémie dont personne, ni l’Américain Gallo, ni le Français Montagnier ne parvinrent à vraiment isoler le virus, fut créé de toute pièce pour masquer deux crises sanitaires : l’empoisonnement des jeunes par la drogue dans le monde occidental (héroïne, cocaïne, poppers et autres) ainsi que l’empoisonnement industriel (pesticides, fongicides, additifs, fluor et autres) et le bouleversement social en Afrique. Sans oublier, histoire de faire d’une pierre deux coups, de gigantesques profits pour Big Pharma grâce à la vente de médicaments onéreux, souvent inefficaces et parfois dangereux. Vous avez dit « drogues » ? Mais cette histoire n’est-elle pas le retour de boomerang de la guerre de l’opium menée contre la Chine il y a fort longtemps par la Compagnie britannique des Indes Orientales ? Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une compagnie privée avait autorisation de s’octroyer des marchés n’importe où sur la planète, à n’importe quel prix, même celui d’une guerre privée, menée avec des armées ne représentant pas un pays ! Et tout cela pour de l’argent. Quel meilleur symbole de celui-ci que le diamant extrait en Afrique du sud par des mineurs africains dans des conditions si déplorables qu’ils furent atteints de silicose que l’on maquilla en pneumonie causée par le SIDA. Ainsi la boucle fut-elle bouclée pour l’empire…

« SIDA, opium, diamants et empire » est un essai à base médicale et scientifique très fouillé et très sourcé. Toute l’escroquerie du SIDA y est minutieusement détaillé. C’est parfois très technique voire un brin rébarbatif à lire parfois pour le béotien que je suis. Cependant l’analyse générale de la sombre machination, dont le SIDA n’est que le fil rouge, est si passionnante que l’on est récompensé de son effort quand on découvre les rapports existant entre les stratégies de l’économie de marché, la destruction de la souveraineté nationale (qui ne date pas d’hier) par le processus de mondialisation et cette pandémie loin d’être survenue par le hasard de la copulation malencontreuse d’un singe vert ! Il y a cent ans, le complexe industriel pharmaco-médical commença à passer sous le contrôle des titans du capitalisme financier (comme « Old Bill Rockefeller » et ses flacons de « Nujol » qui guérissaient tout, même le cancer) dont le but était déjà de réaliser un maximum de bénéfices et non de vaincre la maladie. Un ouvrage intéressant dont le volet d’histoire sociale est à ne pas manquer, surtout si l’on veut comprendre le chapitre suivant, celui du « coronacircus ». En attendant la suite…

4/5

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10/06/2022

La voyage promotionnel (Nouvelle)

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09/06/2022

Mougeons, moutruches et muselières (169)

soignants non vax.jpg

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08/06/2022

Gouvernants invisibles et sociétés secrètes (Serge Hutin)

CVT_Gouvernants-invisibles-et-societes-secretes_5969.jpegQuand on évoque les sociétés secrètes, on pense immédiatement aux Francs-maçons, aux Rose-Croix, mais aussi au B'naï Brith, voire aux Illuminés de Bavière et on ne peut que se référer aux hommes célèbres qui les créèrent ou en firent partie comme Gurdjieff (qui a déclaré : « J’ai la possibilité d’accéder au saint des saints de presque toutes les organisations hermétiques, telles que sociétés religieuses, occultes, philosophiques, politiques ou mystiques qui demeurent inaccessibles à l’homme ordinaire… »), ou comme le fameux « mage » britannique Aleister Crowley ou encore de grands initiés comme Weishaupt, Cagliostro, Saint Germain, Goethe, Hugo et tant d’autres. Cependant, faire partie d’une de ces sociétés secrètes ne suffit pas pour devenir un des gouvernants invisibles, encore faut-il atteindre l’échelon le plus élevé de la hiérarchie (le 33ᵉ par exemple), autant dire le sommet de la pyramide, celui des véritables maîtres, tous totalement inconnus du grand public et tenant d’ailleurs à le rester coûte que coûte. Toute violation du secret étant punie de mort, il est facile de comprendre que bien peu de chose filtre à ce sujet.

Paru en 1971, « Gouvernants invisibles et sociétés secrètes » se présente comme une enquête toujours d’actualité dans la mesure où l’auteur étaie sa théorie sur de nombreux exemples historiques comme les coulisses de la Révolution française, qui ne fut pas aussi spontanée que l’histoire officielle veut bien le raconter, ou comme la vertigineuse ascension de Napoléon Bonaparte qui ne peut s’expliquer que par le soutien apporté par le pouvoir occulte (Fraternité hermétique de Louxor et Illuminatis). Il en fut de même des carrières de Richelieu et de Disraéli, de l’incroyable fortune de Jacques Cœur voire du pouvoir d’Hitler, Lénine et Staline, entre autres. Cet ouvrage, bien écrit et très agréable à lire, s’il n’apprend pas grand-chose à ceux qui sont déjà bien informés sur le sujet, peut très bien servir de base de départ pour les recherches des autres. L’ennui, c’est que quand Hutin aborde des périodes plus proches de nous, son étude semble moins fouillée, et nettement plus superficielle. (Synarchie, Cagoule, Ordre du Temple solaire, juste quelques lignes en fin d’ouvrage).

4/5

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07/06/2022

Poèmes pour petits et grands (186)

Théophile Gautier.jpgLe merle

Un oiseau siffle dans les branches

Et sautille gai, plein d’espoir,

Sur les herbes, de givre blanches,

En bottes jaunes, en frac noir.

 

C’est un merle, chanteur crédule,

Ignorant du calendrier,

Qui rêve soleil, et module

L’hymne d’avril en février.

 

Pourtant il vente, il pleut à verse ;

L’Arve jaunit le Rhône bleu,

Et le salon, tendu de perse,

Tient tous ses hôtes près du feu.

 

Les monts sur l’épaule ont l’hermine,

Comme des magistrats siégeant.

Leur blanc tribunal examine

Un cas d’hiver se prolongeant.

 

Lustrant son aile qu’il essuie,

L’oiseau persiste en sa chanson,

Malgré neige, brouillard et pluie,

Il croit à la jeune saison.

 

Il gronde l’aube paresseuse

De rester au lit si longtemps

Et, gourmandant la fleur frileuse,

Met en demeure le printemps.

(Théophile Gautier)

09:13 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

06/06/2022

Mougeons, moutruches et muselières (168)

Bronchite du crapaud.jpg

08:55 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

05/06/2022

Pensées plus ou moins correctes (267)

« On se réjouissait à ta naissance et tu pleurais. Vis de manière que tu puisses te réjouir au moment de ta mort et voir pleurer les autres. »

(Proverbe persan)

Cioran.jpg« Le fait que la vie n’a aucun sens est une raison de vivre, la seule du reste. »

(Cioran)

« Qui sait si la vie n’est pas la mort et si ce n’est pas la mort que les hommes appellent la vie. »

(Euripide)

« La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie. »

(André Malraux)

« Ne prenez jamais la vie trop au sérieux : de toute façon, vous n’en sortirez pas vivant. »

(Elbert Hubbard)

« La vie sans religion est une vie sans principe et une vie sans principe est comme un bateau sans gouvernail. »

(Mahatma Gandhi)

« La vie c’est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit. »

(Céline)

« La vie est un pont. Traversez-le, mais n’y construisez pas votre maison. »

08:58 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

04/06/2022

Journal d'un remplacé (Grégory Roose)

Journal d'un remplacé.jpgSelon l’auteur, nous ne serions pas confrontés à un « remplacement », mais en réalité à deux. Un « petit » remplacement qui correspondrait à un changement de classe, de références culturelles perpétré grâce à une inversion généralisée des valeurs traditionnelles et à un déni systématique de la réalité. Et un « grand » remplacement qui, lui, est une substitution ethnique, les allogènes submergeant peu à peu les indigènes par le biais d’une immigration incontrôlée et d’une natalité plus importante. Chaque jour ou presque, nous amène son lot d’actes de violence que les médias classent comme « faits divers » ou comme honte pour la société et grande cause nationale selon l’origine de ou des auteurs. Ainsi le jeune Théo Luhaka eut-il droit dans un premier temps à toute l’attention empathique des médias. Il fut présenté comme la malheureuse victime d’un viol perpétré par des policiers indignes. Quelque temps plus tard, après enquête, le parquet reconnaîtra qu’il n’y eut aucun viol. L’individu sera d’ailleurs mis en examen pour escroquerie en bande organisée, blanchiment, faux et usage de faux et travail dissimulé. Mais auparavant, François Hollande s’était immédiatement précipité à son chevet, ce qui ne fut pas le cas pour un autre jeune, Yurii, lynché en pleine rue par une bande de racailles venues de Vanves. Pas plus que pour le malheureux Adrien Perez, poignardé en plein cœur pour avoir voulu défendre une jeune femme agressée par des voyous. Pas plus que pour Laura et Maurane, assassinées à la gare Saint-Charles de Marseille ou pour le capitaine Arnaud Beltrame. Indignations à géométrie variable. Deux poids, deux mesures…

« Journal d’un remplacé » n’est pas vraiment un journal dans la mesure où l’auteur ne suit pas un ordre chronologique des évènements, mais les reclasse par thèmes : immigration, insécurité, propagande, écologie, crise sanitaire et autres. Au fil de ces « faits divers », il aborde toutes sortes de sujets comme les élections truquées aux Etats-Unis, la censure sur les réseaux sociaux, la déconstruction du sentiment national, les violences policières, les Black Lives Matter, le communautarisme, le covid, le féminisme 2.0, la cérémonie des Césars, les éoliennes, la COP 21, Greta Thunberg, etc. Tout est vu par le petit bout de la lorgnette. Les analyses sont souvent légères pour ne pas dire discutables. Pour Roose, la crise sanitaire a eu un bon côté, celui du retour de la nature au cœur des villes et d’une nette amélioration de la qualité de l’air. Pas un mot sur les mesures idiotes, inutiles, liberticides et vexatoires. Le chapitre sur l’écologisme est un peu plus travaillé. La jeune Thunberg et ses séides repartent rhabillés pour l’hiver. Celui sur l’insécurité rappelle « La France Orange mécanique » de Laurent Obertone en moins percutant et en moins fouillé. On aurait aimé que tout l’ouvrage se soit affranchi de son côté anecdotique et ait plus viré à l’essai socio-politique, voire au pamphlet, ce qui n’est pas le cas. L’ensemble reste léger et superficiel tout comme le style peu travaillé et même un brin approximatif parfois.

3/5

08:20 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)