31/12/2021
Bonne année !
Après l'an foiré (2020), l'an merdé (2021), je crains que nous ne nous retrouvions face à l'an… poisonné…
Très bonne année malgré tout à toutes les lectrices et à tous les lecteurs assidus ou passagers de ce blog !
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30/12/2021
Toute la sagesse du monde (Nouvelle inédite)
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29/12/2021
Mougeons, moutruches et muselières (119)
08:25 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
28/12/2021
Les Indiens d'Amérique du Nord (Georges Catlin)
De 1832 à 1839, Georges Catlin sillonna les grands espaces de l’ouest américain, en remontant le Missouri et en allant jusqu’aux Rocheuses, à la recherche des tribus indiennes les moins touchées par la « civilisation » qui se ruait déjà vers eux. À une trentaine d’années de distance, il partit sur les traces des grands explorateurs Lewis et Clarck et, comme Audubon, il fut aussi un peintre de paysages et de portraits de chefs Peaux Rouges. Ses tableaux, rassemblés dans un musée, figurent parmi les rares documents permettant de se faire une idée de la vie des tribus indiennes juste avant l’invasion yankee et la fin de cette civilisation singulière. En effet les Indiens d’Amérique passèrent d’une population de 16 millions d’habitants à seulement 2 en fort peu de temps, victimes du whisky, de la variole et de la guerre. D’abord repoussés au-delà du Mississippi, puis de plus en plus loin vers l’ouest, sur des territoires de plus en plus déserts, tous firent néanmoins un excellent accueil à Catlin.
« Les Indiens d’Amérique du Nord » est un essai anthropologique d’une lecture un peu laborieuse. En effet, cet ouvrage illustré de nombreuses reproductions de tableaux de l’auteur et composé de 58 lettres suivies d’un appendice consacré à un plaidoyer en faveur des Indiens et d’un réquisitoire enflammé à l’encontre des Visages Pâles, ne suit ni un ordre chronologique vu que ce n’est en aucun cas un récit de voyage classique, ni une forme thématique. Le résultat donne une accumulation de redites comme la chasse aux bisons qui est décrite à de multiples reprises. Sans parler des longues descriptions de paysages. Paradoxalement, le lecteur en apprendra moins sur les us et coutumes de ces populations disparues que dans les ouvrages de la collection « Terre Humaine » par exemple. Il découvrira cependant que la viande de chien, les queues de castor et les langues de bisons figurent parmi les plats les plus recherchés de leur gastronomie, que l’Indien est superstitieux et qu’il a un grand sens de l’honneur. Il place autour de sa taille et un peu partout sur ses vêtements les scalps pris sur ses ennemis tués au combat. Plus il peut en exhiber, plus il sera considéré comme un guerrier respecté. Il garde en permanence une bourse à médecine qui contient des gris-gris censés le protéger. Il pratique la polygamie, seule organisation permettant de compenser les pertes en hommes des perpétuelles guerres entre tribus. On passera sur les supplices d’initiation très bien décrits pour ne pas choquer les âmes sensibles. Il ressort de ce témoignage une impression mitigée. Bien sûr, ces pauvres gens furent broyés impitoyablement, comme par un rouleau compresseur. Mais ils eurent une certaine part dans leur destinée. Leur chasse au bison était avec aussi peu respectueuse du maintien de l’espèce que celle des chasseurs yankee (Buffalo Bill). Ils contribuèrent pour une part à la disparition de l’animal qui était garant de leur survie. Ils ne surent pas se fédérer, étant perpétuellement en guerre les uns contre les autres. Très peu parvinrent à passer du statut de chasseur-cueilleur à celui de cultivateur. Ils furent aussi d’une grande naïveté dans les négociations des traités de paix, véritables marchés de dupes. Une tragédie et un génocide dont les Américains resteront éternellement responsables.
3/5
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27/12/2021
Poèmes pour petits et grands (170)
Le magicien
Approchez messieurs-dames
Entrez sous le grand chapiteau
Venez voir mon spectacle
Découvrez un monde nouveau.
Vous pourrez voir la voie lactée
Tomber doucement à vos pieds,
Et tous les soleils de l’Afrique
Sortir d’une boîte magique.
Avec les revers de ma cape
Je ferai apparaître un lac
Puis avec deux ou trois foulards
Voici des cygnes et des canards.
À l’intérieur de ce grand cirque
D’un coup de baguette magique
Je change l’hiver en printemps
Je fais la pluie et le beau temps.
Plus de mille colombes blanches
S’envolent soudain de mes manches
Vous verrez la poule aux œufs d’or
Et bien d’autres choses encore.
Entrez sous le grand chapiteau
Vous pourrez voir dans mon chapeau
Pousser un baobab géant
En trois secondes seulement
Enfin, le plus extraordinaire,
Ça personne ne sait le faire
J’invente une couleur nouvelle
Et je l’ajoute à l’arc-en-ciel.
Approchez messieurs-dames
Approchez messieurs-dames.
(Richard Seff)
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26/12/2021
Mougeons, moutruches et muselières (118)
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25/12/2021
Pensées plus ou moins correctes (251)
TROUVER
« Quand on trouve sans chercher c’est qu’on a cherché longtemps sans trouver. »
(Gaston Bachelard)
TUER
« On tue un homme : on est un assassin. On tue des millions d’hommes : on est un conquérant. On les tue tous : on est un dieu. »
(Jean Rostand)
« En tuer un pour en terrifier un millier. »
(Sun Tzu)
« Tuez un homme, vous êtes un assassin ; tuez des milliers d’hommes, vous êtes un héros. »
(Beilby Porteus)
« Nous ne devons pas tuer nos ennemis, mais tuer leur désir de tuer. »
(Gandhi)
TUNIQUE
« La tunique suspendue dans ta garde-robe, c’est la tunique de celui qui est nu. »
(Saint Basile le Grand)
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24/12/2021
Joyeux Noël !
Je souhaite à tous les lecteurs et lectrices de ce blog un très joyeux Noël !
Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté !
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Mougeons, moutruches et muselières (117)
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23/12/2021
Meurtre par injection (Eustace Mullins)
Dès 1600 avant J.C., plus de 900 médicaments étaient déjà à la disposition des médecins y compris l’opium. Aujourd’hui, la médecine allopathique est devenue dominante. Elle cherche à discréditer, à déconsidérer, voire à annihiler sa concurrente, la médecine homéopathique à laquelle encore beaucoup de gens dont la reine Elizabeth II continuent à avoir recours. Pourtant, en 1847, aux Etats-Unis, le nombre des homéopathes représentait encore le double de celui des allopathes. Mais en 1892, John D. Rockefeller reçut de Frédérick T. Gates un plan lui permettant de se rendre maître de tout l’ensemble du système américain d’éducation médicale. Sous sa houlette, le nombre d’écoles de médecines passa de 650 à 50 et celui des diplômés fut ramené de 7500 à 2500. Rockefeller avait commencé en vendant des potions, à base de pétrole, censées soigner n’importe quoi mais, en réalité, plus nocives qu’efficaces. À la fin de la première guerre mondiale, les productions de produits chlorés à but militaire (ypérite) furent reconverties en insecticides et pesticides pour l’agriculture et en médicaments pour humains et animaux. Les multinationales de la chimie et de la pharmacie engrangent des profits phénoménaux avec des chiffres d’affaires de plusieurs milliards de dollars. Leurs médicaments sont malheureusement trop souvent surévalués, inefficaces et potentiellement dangereux. En septembre 1980, la FDA fit ainsi retirer du marché plus de 3000 médicaments à l’efficacité douteuse et à la dangerosité certaine. La liste de ces derniers est interminable, celle des scandales sanitaires aussi. (Thalidomide, Aspartame, etc.) Chaque année, 30 000 Américains meurent des effets indésirables des médicaments et des vaccins.
« Meurtre par injection » est un essai sur l’état de tout le système médical américain. Le titre est assez mal choisi. En effet, le problème des vaccins n’est abordé que dans un seul chapitre assez court d’ailleurs. L’auteur prend le problème dans son ensemble en commençant par la partie historique qui montre comment on en est arrivé là. Depuis la création de pseudos instances de contrôle et de régulation comme l’AMA (American Medical Association) dirigée jusqu’en 1949 par deux charlatans, Simmons et Fishbein, jusqu’à la main mise absolue du trio Rockefeller-Rothschild-Gates sur l’ensemble de la filière, OMS incluse. Une guerre sans merci fut livrée contre les médecines douces comme l’homéopathie, la phytothérapie, la chiropractie et autres qu’on accusa de tous les maux pour mieux promouvoir la filière chimique d’un rapport bien plus intéressant. Ainsi apprend-on que les huiles essentielles furent interdites, saisies et détruites comme « substances dangereuses » alors que personne n’était mort ou n’avait été malade suite à leur prise. Que l’on a expérimenté pendant des années des vaccins sur des prisonniers dans les pénitenciers américains sans leur consentement et avec les conséquences tragiques que l’on imagine. Que dans les années 60, Dulles commanda à la société Sandoz basée en Suisse rien moins que 10 kg de LSD soit cent millions de doses qui servirent aux expériences menées dans les universités de la côte ouest (Timothy Leary) sous la houlette de la CIA, laquelle reprit et mena à leur terme toutes sortes d’expérimentations de manipulations mentales et autres lavages de cerveau initiés par les médecins nazis (MK Ultra, MK Delta, etc.) Au total, un réquisitoire implacable et ahurissant qui fait froid dans le dos. À réserver aux courageux qui voudraient en savoir un peu plus sur le sujet.
4/5
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