18/11/2020
Nos libertés
08:53 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
17/11/2020
Poèmes pour petits et grands (130)
La foire
Marchands forains,
Marchands de jolis riens,
Par le froid de Noël ou le soleil de Pâques,
Vous apportez dans la cité,
Avec vos légères baraques,
Vos boniments
Et votre mouvement,
Vos lumières scintillantes,
Et vos guirlandes éclatantes !
Le champ de foire est plein de bruit :
On se bouscule, on crie, on rit.
(Norette Mertens)
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16/11/2020
L'interview censurée du Pr Perronne
08:20 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
15/11/2020
Pensées plus ou moins correctes (211)
SAVOIR
« Savoir c’est pouvoir. »
« Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas. »
« Mieux vaut un qui sait que cent qui cherchent. »
(Proverbe auvergnat)
« Le savoir que l’on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. »
(Proverbe chinois)
« Savoir ce que tout le monde sait, c’est ne rien savoir. Le savoir commence là où commence ce que le monde ignore. »
(Rémy de Gourmont)
« Il vaut mieux savoir ni lire ni écrire que d’être incapable de faire autre chose. »
(Henri Vincenot)
« Ce que je sais à soixante, je le savais aussi bien à vingt. Quarante ans d’un long, d’un superflu travail de vérification. »
(Cioran)
SCEPTICISME
« Le scepticisme est le commencement de la foi. »
(Oscar Wilde)
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14/11/2020
Hold-up (Le film interdit)
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13/11/2020
Mougeons, moutruches et muselières (17)
08:58 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
12/11/2020
Le mammouth m'a tué (Témoignage)
version papier
https://www.amazon.fr/mammouth-tuer-T%C3%A9moignage-insti...
version ebook
https://www.bookless-editions.fr/ebooks/t%C3%A9moignages/...
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11/11/2020
La souffrance et le moyen d'y mettre fin (Daniel Madrasse)
Ni aujourd’hui ni demain ne font rêver et, à moins de se complaire dans l’insatisfaction, on ne peut chercher que de nouveaux moyens d’être heureux. Comment échapper à la souffrance ? Comment atteindre le bonheur ? Celui-ci serait un état de paix durable et dénué de souffrance, nommé aussi « ataraxie ». Le plaisir n’est pas le bonheur, car le plaisir est toujours éphémère et doit être recherché en permanence alors que la souffrance et la douleur doivent toujours être combattues. L’homme vit sous l’emprise de ses émotions, lesquelles sont indispensables à sa survie. Il fut un temps où l'homme se sentait encore maître du monde ou du moins de son territoire, où il se sentait un être libre plutôt qu’un rouage. À mesure que la société est devenue plus complexe, plus interdépendante et plus informatisée, cette liberté en a été d’autant plus réduite au point que se pose maintenant la question de savoir si une dictature totale ne serait pas le moyen ultime d’imposer l’égalité, la stabilité et donc la paix pour tous.
« La souffrance et le moyen d’y mettre fin » est un essai philosophique un peu dans la ligne de tous ces bouquins de recherche de bonheur ou de bien-être qui encombrent les rayons des librairies et qui rencontrent souvent un joli succès commercial. Sommes-nous si peu heureux qu’il nous faille autant courir derrière un bonheur que l’on n’atteint jamais ? Il faut dire que les sociétés modernes basées sur l’hyper consommation, la publicité omniprésente et la dictature du paraître, produisent de la frustration à haute dose. Cet ouvrage se compose de deux parties d’intérêt assez inégal. La première décrit la souffrance sous tous ses aspects. L’auteur fait appel à la biologie, à la chimie moléculaire, à l’ethnologie, à l’archéologie, à l’écologie et même à la théorie de l’évolution des espèces pour nous dépeindre la simple misère de notre condition humaine. Ce n’est pas inintéressant, mais un tantinet superfétatoire. Que de brillants développements pour démontrer une évidence ! La seconde partie nettement moins scientifique est totalement spirituelle. Pour remédier à cette souffrance, l’auteur fait appel aux pratiques religieuses de tous horizons. Bouddhisme, hindouisme (avec tous les types de yogas), christianisme (érémitisme, hésychasme et garde du cœur), islam (soufisme principalement) sont mis à contribution dans un syncrétisme plutôt intelligent. Les solutions ? Le retour à la pensée positive, à la méditation, au pranayama et autres répétitions du nom de Dieu. Un essai qui peut être utile à qui débute sur la voie de la sagesse…
4/5
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10/11/2020
Le cours du blé est en hausse (Nouvelle)
Nouvelle extraite du recueil LOLLYBLOG
Ouvrage disponible version papier et e-book
https://www.amazon.fr/Lollyblog-Nouvelles-Bernard-Viallet...
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09/11/2020
Les enfants du matin (Jack Curtis)
À Londres, une jeune femme est abattue d’un tir de fusil de précision, au milieu de la foule d’Oxford Street. Il semble que la cible ait été choisie au hasard. L’inspecteur Robin Culley et le sergent Dawson se retrouvent chargés de l’affaire. Laquelle se complique très vite quand c’est le tour d’un homme d’être tué dans un train de façon semblable. Puis ce sont deux jeunes gens qui trouvent la mort de la même manière près d’une guinguette des bords de la Tamise. Au fil des jours, les assassinats de ce genre s’accumulent. On finit par dénombrer rien moins que vingt meurtres en l’espace de huit jours…
« Les enfants du matin » est un thriller assez classique avec une accumulation particulièrement importante de crimes dont un, le dernier, est tout à fait monstrueux de sadisme et de cruauté. De quoi révulser les âmes sensibles. L’originalité de cet ouvrage vient du fait que tous ces crimes que l’on croit gratuit au début ne le sont pas vraiment, mais cachent un seul qui est commandité par des personnages hauts placés. L’intrigue est bien menée et assez intéressante dans la mesure où le lecteur est un peu « promené » avant de découvrir une vérité plus nuancée qu’il n’y paraît au premier abord. La faiblesse de ce roman de divertissement tient plus au style pas très léger de Jack Curtis. Un certain manque de rythme. Des descriptions inutiles qui ne sont pas loin de tirer à la ligne par endroits. À réserver aux amateurs du genre.
3,5/5
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