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12/11/2021

Le dernier des Spartians (roman)

09:24 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

11/11/2021

Mougeons, moutruches et muselières (100)

Cauchemar.jpg

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10/11/2021

La S3G (Nouvelle)

08:34 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

09/11/2021

Mougeons, moutruches et muselières (99)

Bloquons tout.jpg

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08/11/2021

La reine des sortilèges (David Eddings)

La reine des sortilèges.jpgElevé par tante Pol qui va se révéler toute autre que ce qu’il croyait, le jeune Garion est orphelin de père et de mère. Il a perdu ses parents assassinés par un mystérieux inconnu qui a aussi mis le feu à leur maison avant de s’enfuir dans la nuit. Garion n’a plus qu’une idée en tête : retrouver cet individu pour le tuer dès qu’il sera assez grand et assez fort pour y parvenir. Pour l'instant, il reste encore sous la tutelle de tante Pol, alias Dame Polgara et de sire Loup, alias Belgarath, tous deux toujours en quête de l’Orbe volé par Zedar, lequel doit le remettre à Torak qui n’est pas mort, mais simplement endormi. Au fil des incidents et des attaques d’ennemis, Garion se rend peu à peu compte que Polgara et Belgarath sont des personnages hors normes, membre de la noblesse, des immortels doués de pouvoirs spéciaux. Mais lui-même, qui est-il ? D’où vient-il ? Quel est son destin ? Quels sont ses pouvoirs ?

« La reine des sortilèges » est le deuxième tome de la saga de fantaisie « La Belgariade ». L’intrigue ne progresse que fort lentement. Le couple Eddings a beau faire intervenir nombre de roitelets, une reine des serpents nommée Salmissra, des hommes de boue puants et de charmantes Dryades ne supportant pas le moindre feu, il ne se passe pas grand-chose dans cette histoire. Le lecteur apprendra surtout que le héros a pas mal de peine à assumer ses pouvoirs naissants, ce qui, en soi, n’est guère étonnant. Il notera également l’arrivée d’une petite princesse capricieuse. Autant d’éléments nouveaux qui peuvent divertir un jeune public et les amateurs du genre, mais qui risque d’ennuyer les autres. Ça ne décolle pas. On reste dans la soft fantasy, le divertissement quasi commercial. On cherche le souffle épique sans jamais le trouver. N’est pas Tolkien qui veut.

2,5/5

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07/11/2021

Poèmes pour petits et grands (165)

Char.jpgComplainte du lézard amoureux

N’égraine pas le tournesol,

Tes cyprès auraient de la peine,

Chardonneret reprends ton vol

Et reviens à ton nid de laine,

Tu n’es pas un caillou du ciel

Pour que le vent te tienne quitte,

Oiseau rural l’arc-en-ciel

S’unifie dans la marguerite.

L’homme fusille, cache-toi ;

Le tournesol est son complice.

Seules les herbes sont pour toi,

Les herbes des champs qui se plissent.

Le serpent ne te connaît pas,

Et la sauterelle est bougonne

La taupe elle n’y voit pas ;

Le papillon ne hait personne,

Il est midi, chardonneret.

Le séneçon est là qui brille.

Attarde-toi, va, sans danger

L’homme est rentré dans sa famille.

L’écho de ce pays est sûr,

J’observe je suis bon prophète

Je vois tout de mon petit mur,

Même tituber la chouette,

Qui, mieux qu’un lézard amoureux,

Peut dire les secrets terrestres ?

Ô léger gentil roi des cieux,

Que n’as-tu ton nid dans ma pierre ?

 

(René Char)

09:05 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

06/11/2021

Mougeons, moutruches et muselières (98)

Prétexte.jpeg

Véran charlatan.jpg

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05/11/2021

Pensées plus ou moins correctes (246)

Camus.jpg

TRAIN

« Le train du monde m’accable en ce moment. À longue échéance, tous les continents (jaune, noir et bistre) basculeront vers la vieille Europe. Ils sont des centaines et des centaines de millions. Ils ont faim et ils n’ont pas peur de mourir. Nous, nous ne savons plus ni mourir ni tuer. Il faudrait prêcher, mais l’Europe ne croit à rien. Alors il faut attendre l’an mille ou un miracle. »

(Albert Camus)

TRAÎTRE

« Un traître est un homme politique qui quitte son parti pour s’inscrire à un autre. Par contre, un converti est un homme politique qui quitte son parti pour s’inscrire au vôtre. »

(Georges Clémenceau)

08:49 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)

04/11/2021

Mougeons, moutruches et muselières (97)

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Vaccins.jpg

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03/11/2021

La face cachée de Reporters sans frontières (Maxime Vivas)

La face cachée de reporters sans frontières.jpgReporters sans frontières déclare vouloir défendre le droit d’expression des journalistes partout dans le monde et sous quelque régime que ce soit. Les gens imaginent que cela entraine nécessairement pour eux-mêmes une information objective et honnête. Il n’en est rien. Reporters sans frontières ne fait que promouvoir la liberté du bourrage de crânes pratiqué par des journalistes qui ne méritent plus d’autres noms que ceux de commissaires politiques ou de perroquets du pouvoir en place et de la pensée unique globalisée et upérisée. Celle-ci triomphe par une pléthore de titres et d’émissions répétant à l’unisson et à l’infini le même credo. Et Reporters sans frontières ne lève jamais le petit doigt pour soutenir les rares publications dissidentes menacées par l'oligarchie. Il s’insurge sur les exactions commises dans les pays du tiers monde, mais jamais contre celles commises par les Etats-Unis. En Irak, des journalistes sont flingués par des GI, fort peu de réaction. À Guantanamo, un journaliste se retrouve incarcéré et torturé pendant plus de quatre ans dans l’indifférence de RSF. Au Vénézuéla, un putsch raté est enclenché contre Chavez. RSF se range aux côtés des mutins soutenus par les Etats-Unis. L’organisation dénonce Cuba, mais jamais les USA…

Cet ouvrage est un essai analysant une ONG qui semble avoir pas mal à se reprocher. Très vite l’analyse tourne au réquisitoire en bonne et due forme. Le lecteur apprendra un certain nombre de choses intéressantes. Par exemple que les mécènes de RSF sont la CIA, la NED, l’USAID, l'Open Society de Soros et divers autres oligarques. Celui qui paie l’orchestre choisit la musique dit-on. La mansuétude vis-à-vis des Américains n’est donc pas étonnante. Une très petite partie de ces fonds va aux journalistes en détresse, l’immense majorité passe dans des frais de fonctionnement somptuaires. Robert Ménard, qui depuis s’est reconverti en politicien local, fut d’abord assureur, manœuvre, apiculteur, avant d’atterrir à Radio-France-Hérault. Avec Rony Brauman de Médecins sans frontières et Claude Guillebaud, il fond a cette officine à indignations variables « pour promouvoir des formes de journalisme alternatif. » Nous aurions préféré autre chose bien sûr. Avec cet ouvrage d’une lecture un peu laborieuse, le voilà rhabillé pour l’hiver et nous déçus une fois de plus de découvrir cette face cachée si peu reluisante. Encore une, après l’ARC de Crozemarie et tant d’autres…

3/5

08:32 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)