27/09/2021
Poèmes pour petits et grands (161)
Quand les hommes vivront d’amour
Quand les hommes vivront d’amour
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
Quand les hommes vivront d’amour
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous nous serons morts mon frère.
Dans la grand' chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu mauvaise partie…
Quand les hommes vivront d’amour
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours,
Mais nous, nous serons morts, mon frère…
Mais quand les homm's vivront d'amour
Qu’il n’y aura plus de misère,
Peut-être song'ront-ils un jour
À nous qui serons morts, mon frère
Nous qui aurons, aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l’amour
Qu’ils connaîtront, alors, mon frère,
Dans la grande chaîne de la vie,
Pour qu’il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants,
De la sagesse ici-bas c’est le prix
Quand les hommes vivront d’amour
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts, mon frère...
(Raymond Levesque)
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26/09/2021
Mougeons, moutruches et muselières (88)
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25/09/2021
Pensées plus ou moins correctes (242)
TENTATION
« Le seul moyen de se débarrasser d’une tentation, c’est d’y céder. »
(Oscar Wilde)
TERRE
« Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. »
(Antoine de Saint Exupéry)
« La rupture entre l’homme et la terre, c’est la rupture entre l’homme et lui-même. »
(Gustave Thibon)
« La terre nous en apprend plus sur nous que tous les livres. »
(Antoine de Saint Exupéry)
« La terre ne rend jamais sans intérêts ce qu’elle a reçu. »
(Cicéron)
« De toutes les folies et aberrations que l’on rencontre dans l’humanité, celle qui me paraît la plus inconcevable, c’est que l’homme, pendant son passage sur la terre, n’ait pas la curiosité de la connaître toute entière. »
(Alain Gerbault)
« La Terre, telle une baleine qui, d’un frôlement de sa queue, ferait voler en éclat un engin flottant un peu trop importun, peut se débarrasser de nous en quelques frémissements ou éruptions cutanées. Elle n’a pas besoin de nous pour se défendre. Nous la protégeons pour notre survie et non pour la sienne. Elle nous demande de mieux nous aimer en l’aimant. Peut-être nous propose-t-elle de faire passer au premier plan cette abondance pour laquelle nous sommes faits. »
(Patrick Baronnet)
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24/09/2021
Pandémie, une tentative échouée (Jane Burgermeister)
D’abord l’OMS déclare qu’un virus inconnu est la cause d’une maladie infectieuse extrêmement grave, une pandémie dont on a abaissé les critères pour les besoins de la cause, puis elle déclare qu’il n’y a aucun traitement valable donc qu’il faut impérativement faire appel à des vaccins. Finalement, elle prend des dispositions pour l’administration de ces vaccins par le chantage, la coercition et, si besoin est, carrément par la force. Mais qui finance l’OMS ? Les états n’y contribuent que pour une très faible part. Les riches donateurs, les fondations (Rockefeller, Gates et autres) pour la majeure partie. Bizarrement, ce sont les mêmes qui financent les médias mainstream lesquels ne diffusent que la bonne parole de gouvernements eux-mêmes corrompus par les précédents. Et ainsi la boucle est bouclée…
« Pandémie, une tentative échouée » est un essai sur le phénomène récurrent des pandémies et leur but inavoué : vacciner un maximum de gens pour le plus grand bonheur des compagnies pharmaceutiques qui voient ainsi leurs profits et leurs dividendes s’envoler. Peu importe ce que contiennent leurs injections. Mercure et squalène qui eurent de terribles conséquences sur les militaires revenant de la guerre du Golfe. Et maintenant le graphène aux effets secondaires dangereux comme les thromboses et autres myocardites. La force de cet ouvrage est de rappeler tout le processus des précédentes pandémies comme les grippes porcine et aviaire, ce qui permet au lecteur de mieux comprendre tout ce qui est en train de se passer maintenant et de mesurer combien nos dirigeants ont de la suite dans les idées. Ouvrage intéressant, mais qui aurait mérité de plus larges développements.
3,5/5
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23/09/2021
Mougeons, moutruches et muselières (87)
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22/09/2021
Montburgonde (Roman)
Ouvrage disponible Version papier
https://www.amazon.fr/Montburgonde-rivages-temps-Bernard-...
Version ebook
https://www.amazon.fr/Montburgonde-Bernard-Viallet-ebook/...
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21/09/2021
Globalement inoffensive (Douglas Adams)
Tricia McMillan, présentatrice télé britannique, souhaiterait être embauchée par une chaine américaine histoire de voir son salaire décuplé. Pour l’heure, elle vient d’interviewer une certaine Gail Andrews laquelle demande peu après à la retrouver au bar de son hôtel. Elle veut dissiper un malentendu entre elles deux et surtout savoir pourquoi Tricia s’est montrée aussi déplaisante à son égard. Elle apprend que c’est à cause de ses prises de position en faveur de l’astrologie. Quelque temps plus tard, un vaisseau spatial atterrit dans le jardin de Tricia. Trois extra-terrestres en sortent. Croyant tenir le scoop du siècle, la jeune femme se précipite sur sa caméra et sur son magnétophone. Mais elle se retrouve largement déçue quand elle apprend que ces trois visiteurs ne connaissent même pas leurs noms ni celui de leur chef, qu’ils ne savent pas d’où ils viennent ni même où ils vont. Ils n’ont qu’une certitude : ils sont ici pour emmener Tricia avec eux !
« Globalement inoffensive », cinquième et dernier volume de la saga « H2G2 » n’apporte pas grand-chose de nouveau à l’ensemble, si ce n’est quelques personnages féminins supplémentaires qui apparaissent un temps pour mieux disparaître ensuite. En effet, l’intrigue reste à nouveau sans consistance, mais le lecteur n’est pas là pour l’histoire. L’humour british fait de nonsense, de paradoxes et d’auto-dérision est encore là, mais semble-t-il avec moins de fréquence et de puissance. Une sorte de lassitude semble avoir saisi l’auteur qui ne fait que reprendre des situations déjà plusieurs fois exploitées. Rien de nouveau, rien de surprenant sous le soleil. La fin qui aurait pu donner lieu à une chute surprenante est aussi décevante que le reste. Tout cela tire un peu trop à la ligne et l’ennui du lecteur s’insinue carrément en raison de toute cette monotonie. On fait « ouf » d’être arrivé au bout de ces 1100 pages qui auraient gagné à être réduites de moitié au moins !
3/5
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20/09/2021
Ulla Sundström (Nouvelle)
Nouvelle extraite du recueil "Ulla Sundström"
disponible version ebook
https://www.amazon.fr/ULLA-SUNDSTR%C3%96M-Bernard-VIALLET...
version papier
08:46 Publié dans Concept | Lien permanent | Commentaires (0)
19/09/2021
Mougeons, moutruches et muselières (86)
08:52 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
18/09/2021
Salut, et encore merci pour le poisson (Douglas Adams)
Arthur Dent se retrouve sur terre à six kilomètres de son village. Sa maison est toujours là. Sa boîte aux lettres est pleine de factures et de prospectus. Il retrouve sa chambre et s’étend sur le lit qui sent le moisi. À part la présence d’une épaisse couche de poussière et de pas mal de choses pourries ou mortes comme le chat, rien n’a vraiment changé. Il trouve un joli bocal dans un carton. Il le remplit d’eau du robinet et y place le babbelfish qu’il a dans l’oreille à titre de traducteur avant de s’endormir. Le lendemain, il enterre le chat, essaie d’obtenir des nouvelles de Fenella ou Fenny et finit par aller au pub où il raconte qu’il a fait un long séjour en Californie. Là-bas, les Californiens ont redécouvert l’alchimie. Il prétend même qu’ils ont trouvé comment transformer en or l’excès de graisse corporelle !
« Salut, et encore merci pour le poisson », quatrième tome de la saga « H2G2 », est un roman de science-fiction humoristique qui ne s’embarrasse ni de logique ni de vraisemblance. La terre a été pulvérisée pour former une déviation spatiale, cela n’empêche nullement Arthur d’y revenir d’abord dans une caverne, puis carrément chez lui ! Avec Douglas Adams, on fait fi du temps et de l’espace. L’ennui, c’est que tout ça donne un peu beaucoup l’impression de tourner en rond, que l’intrigue est toujours aussi peu travaillée. Résultat : le lecteur, au fil des tomes, est de moins en moins surpris des trucs, ficelles et astuces drôlatiques de l’auteur. Seule originalité de cet opus, l’amourette, décalée bien sûr, entre Fenny ou Fenchurch, on ne sait trop, et le héros principal, Arthur Dent. Un peu mince pour sortir d’une monotonie qui commence un peu à lasser les meilleures volontés.
3/5
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