13/02/2025
Mougeons, moutruches et muselières (459)
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12/02/2025
Le 36e satellite (Roman)
Ouvrage disponible version numérique
version papier et ebook
https://www.thebookedition.com/fr/le-36e-satellite-p-401338.html
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11/02/2025
On n'a jamais marché sur la lune, l'imposture Apollo (Aldo Sterone)
Pourquoi depuis les missions Apollo des années 1968/70, aucun humain n'est-il jamais retourné sur la lune alors que l'informatique et la technologie ont fait des bonds de géants depuis ce demi-siècle ? Comment se fait-il que tous les échantillons de roches ramenés de là-bas se sont révélés d'origine terrestre après des analyses sérieuses alors que les Chinois et les Hindous ont pu ramener ensuite grâce à des robots envoyés sur notre satellite des roches présentant des molécules vraiment inconnues ? Et quid des ceintures de Van Allen composées de nuages de particules d'énergie nucléaire capables de percer les meilleurs blindages et donc parfaitement infranchissables pour des organismes humains ? Comment des moteurs de fusée tout justes capables d'atteindre une station spatiale en orbite basse donc située à 250 ou 300 kilomètres de la terre ont-ils pu franchir aussi facilement les 300 000 kilomètres nous séparant de la lune et surtout en revenir et grâce à quelle quantité d'énergie ? Pourquoi des analyses poussées des photos et videos de ces exploits montrent des ombres peu vraisemblables, une ligne d'horizon trop proche, une absence d'étoiles dans le ciel lunaire et toutes sortes de perspectives faussées comme si ces scènes avaient été tournées en studio par un Stanley Kubrick du pauvre tant les images sont de mauvaise qualité ? Et comment les astronautes ont-ils pu communiquer avec leur base depuis notre satellite ?
« On n'a jamais marché sur la lune » est un essai technique où l'auteur s'est donné pour but de prouver que la Nasa, pour complaire au président Kennedy lancé dans une compétition spatiale avec l'URSS, a été obligée de tromper le monde entier avec un exploit qu'elle n'était pas techniquement capable de réaliser. Toute cette affaire est calmement et efficacement démontée. Les arguments tiennent la route. Au fil des pages, le lecteur va de découvertes en découvertes. Comment cela a-t-il été possible ? Comment avons-nous été assez naïfs à l'époque pour croire à ce narratif basé sur de simples images ? Il y a de quoi ébranler bien des convictions, se poser bien des questions. Nous aurait-on menti ? Il semblerait que les Russes avec le premier vol de Gagarine dans son Spoutnick qui faisait bip-bip auraient eux aussi bidonné un peu l'exploit. Stérone en voit la preuve dans l'utilisation d'un simple parachute pour son retour sur terre. Une autre chose étrange fut l'attitude des trois premiers marcheurs sur la lune, ceux qui ont fait « ce petit pas pour l'homme et ce pas de géant pour l'humanité », Armstrong, Aldrin et Collins, lors de leur conférence de presse devant les journalistes du monde entier. On les sent gênés, évasifs et ne répondant que des banalités. Sans parler de certains aveux non présentés d'ailleurs dans ce livre intéressant et documenté qui fera sans doute bondir au plafond les adeptes de la pensée unique, les moutruches et les mougeons qui gobent tout ce que la télé leur raconte… Vivement une commission d'enquête honnête pour qu'enfin la vérité éclate…
4,5/5
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10/02/2025
Dans les couloirs du métro (Nouvelle)
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09/02/2025
Mougeons, moutruches et muselières (458)
COMMENT ÉVITER DE FUTURES PANDEMIES ?
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08/02/2025
Quinze histoires d'expéditions inédites qui ont changé ma vie (Sarah Marquis)
Dans le bush australien, Sarah Marquis affamée mange des baies qu'elle ne connait pas. Elle les trouve un peu acres. Mais très vite sa vue devient floue, puis elle se retrouve complètement aveugle. Il lui faudra attendre des heures avant de retrouver une vision à peu près normale… Un jour, elle oublie son passeport dans une cabine téléphonique et repart dans le désert sans s'en rendre compte. Plusieurs jours plus tard, à des centaines de kilomètres de là, un routier arrête son convoi de bétail près d'elle et le lui rend. Il a passé des jours à la rechercher dans l'outback australien en la suivant à la trace grâce à diverses informations glanées auprès du « bush telegraph », sorte de « téléphone arabe »… En s'approchant un peu trop du bord d'une gorge, le sol se dérobe sous son poids et Sarah est entrainée dans une très mauvaise chute. Elle se déboite l'épaule et se fracture l'humérus gauche. Elle est rapatriée en hélicoptère. Arrivée à l'hôpital, le médecin qui l'examine ne comprend pas comment elle a pu supporter pareille douleur… En plein désert de Gobi, elle se retrouve affligée d'une grave infection dentaire. Elle doit être évacuée, mais le pays le plus proche ne nécessitant pas de visa et capable de gérer correctement le problème est… le Japon !
« Quinze histoires d'expéditions inédites » est plus un témoignage sur la vie d'aventurière et d'exploratrice de Sarah Marquis qu'un recueil d'histoires vraies et encore moins de nouvelles. Les petites anecdotes racontées ne sont là que pour illustrer le propos. Il s'agit d'expliquer au lecteur pourquoi on se lance dans pareilles aventures et pourquoi on relève des défis aussi fou. Et aussi comment on arrive à maitriser sa peur, à faire confiance à son intuition, à prendre des risques, à ouvrir son esprit pour mieux comprendre la nature, les animaux et les gens. Elle évoque le Kimberley infesté de crocodiles, le bush australien manquant terriblement d'eau sans oublier toutes ses rencontres avec les gens. Depuis les Mongols saouls qui la pourchassent à cheval mais qu'elle fait fuir en profitant d'une tornade de sable jusqu'à vieille Chinoise et sa bande de malfrats qui tentent de la kidnapper dans l'idée de lui faire exercer une profession tarifée en passant par les femmes Aborigènes qui la comprennent et la protègent et les Thaïs si accueillants, si serviables et si gentils… Cet ouvrage très bien écrit et joliment illustré de dessins permet d'en apprendre plus sur quelques aspects de l'exploration et peut même pousser certains à partir sur ses traces…
4,5/5
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07/02/2025
Poèmes pour petits et grands (283)
Le désert
Quand le bédouin qui va de l’Horeb en Syrie
Lie au tronc du dattier sa cavale amaigrie,
Et, sous l’ombre poudreuse où sèche le fruit mort,
Dans son rude manteau s’enveloppe et s’endort,
Revoit-il, faisant trêve aux ardentes fatigues,
La lointaine oasis où rougissent les figues,
Et l’étroite vallée où campe sa tribu,
Et la source courante où ses lèvres ont bu,
Et les brebis bêlant, et les bœufs à leurs crèches,
Et les femmes causant près des citernes fraîches,
Ou, sur le sable, en rond, les chameliers assis,
Aux lueurs de la lune écoutant les récits ?
Non, par-delà le cours des heures éphémères,
Son âme est en voyage au pays des chimères.
Il rêve qu’Al-Borak, le cheval glorieux,
L’emporte en hennissant dans la hauteur des cieux.
(Leconte de Lisle)
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06/02/2025
Mougeons, moutruches et muselières (457)
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05/02/2025
Pensées plus ou moins correctes (363)
CONVICTION
« En vérité, les convictions sont plus dangereuses que les mensonges. »
(Friedrich Nietzsche)
CORAN
« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. (…) Je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. »
(Arthur Schopenhauer)
« J’ai beaucoup étudié le Coran (…) Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman (…) Je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès. »
(Alexis de Tocqueville)
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04/02/2025
L'aventurière des sables (Sarah Marquis)
Partie le 20 juin 2002 d'Alice Springs, Sarah Marquis s'est lancée dans un périple de rien moins que 14 000 kilomètres à pied tout autour de l'Australie en portant un sac de 30 kg. Il lui faut en effet emporter suffisamment d'eau pour pouvoir survivre dans un environnement désertique particulièrement hostile. Cette incroyable marche, véritable exploit de survie, durera 17 mois. Le bush australien fait partie de ces territoires qui ne sont pas particulièrement propices à la vie humaine. Il cache les dix espèces de serpents les plus dangereux du monde, des crocodiles qui remontent les rares rivières ainsi que des dingos qui lui ravageront sa tente en quête de nourriture. Les températures y sont extrêmes. Il peut y faire jusqu'à 50° au soleil en plein jour et – 5° la nuit. Végétarienne depuis l'enfance, pour survivre, Sarah devra chasser et se nourrir de tout ce qu'elle trouvera comme ces « witchetty grubs », gros vers blancs, parasites des rares arbres. À l'aide de sa sarbacane, elle devra également chasser tout ce qu'elle pourra (perroquets, dindes sauvages et même serpents). Sa plus grande difficulté sera de trouver des points d'eau, souvent saumâtre où s'abreuvent les troupeaux. Elle aura même recours à la récupération de rosée ou de transpiration des arbres en les couvrant d'une bâche plastique. Son frère Joël viendra également la ravitailler à cinq reprises et même la précéder en 4X4 pour lui déposer des jerrycans d'eau aux emplacements des puits à sec dans certains déserts impossibles à traverser sans cela…
« L'aventurière des sables » est le récit passionnant d'un exploit qui classe Sarah Marquis, la petite marcheuse suisse, au niveau des plus grands explorateurs comme le nettement plus médiatisé Mike Horn. Personne ne croyait à la possibilité de réussite d'un pareil défi. Seule sa famille l'encouragea. Sa mère fit même le voyage pour la retrouver sur le parcours. Son frère assura toute la logistique. Les camionneurs australiens la suivaient de loin en se demandant quel était le fou qui marchait ainsi dans cet enfer ? Ils n'imaginaient même pas que cela pouvait être une femme. Son courage exceptionnel, sa détermination sans faille fit autant l'admiration des rudes habitants du bush que des aborigènes dont elle apprécia la gentillesse. Sa plus belle rencontre fut celle d'un chien bâtard de dingo, qu'elle recueillit, qui la suivit partout, qu'elle prénomma D'Jo et qu'elle ramena non sans difficultés en Suisse. Cet ouvrage très agréable à lire, car fort bien écrit, permet au lecteur bien calé dans son fauteuil de s'évader dans de grands espaces, de partager les efforts insensés d'une aventurière partie relever un défi impossible juste pour mieux se sentir vivante (nous dit-elle). Il ne peut qu'en rester admiratif. Un joli cahier de photos en couleurs complète agréablement l'expérience de lecture.
4,5/5
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